AFP
De notre correspondant au Liberbidaroustein
Des centaines de milliers de manifestants ont répondu à l’appel de la Commission Internationale pour la Défense des Droits des Petites Histoires (CIDDEPH) et ont défilé, le samedi 3 février 2007, dans les rues des plus grandes villes européennes.
Si Londres, Berlin, Got, Vilnius, Knock-le-Zout et autres lieux de villégiature dont l’importance n’a d’égal que la vitalité d’esprit d’un parisien métroïste à 7h27 le lundi matin n’ont pas été épargnés par le flot incessant de manifestants, c’est à Paris que l’affluence pro’tithistoriste a été la plus forte.
Les grands axes parisiens ont été submergés par une foule exaltée d’ultra-historiciens arborant les couleurs de l’Organisation Internationale des ‘Tithistoristes Unis (OITU).
En tête du cortège se trouvait la figure emblématique du mouvement ‘tithistoriste M. Léonard Ibrahim Shanza Caméamé Ahmed (connu sous l’acronyme LISCA), dont l’activisme et la passion ont permis de projeter sur le devant de la scène internationale la question du droit à l’existence des petites histoires.
D’autres sympathisants plus modérés à la cause ‘tithistoriste ont manifesté leur soutien au mouvement en affichant aux fenêtres de leur maison ou sur les devantures de magasin le drapeau du Back to Real Art and Variety Organization (BRAVO), par ailleurs brandi à outrance lors des manifestations de samedi dernier.
La valeur optique de la manifestation a atteint des sommets d’exotisme et de fraîcheur, alors que les couleurs de l’apparat rouge, bleu, ivoire, vert, café, jaune et blanc d’ŒUFH (Organisation Etudiante de l’Union Française pour les Histoires) se mélangeaient dans une fusion de brillance et d’artifices.
Quant à la valeur sonore de l’événement, elle a renvoyé aux oubliettes les prestations d’antan de la Catasfiore, dépassant parfois la barre des 200 décibeldemevoirdanscemiroir.
Les slogans scandés par la foule étaient divers et neufpieds : « Il était une fois le fachisme anti’tithistoire », « Une histoire petite surpasse les grands mensonges », « La France aux ‘tithistoristes », etc.
Seule la valeur intellectuelle a été laissée pour compte, chutant sous les profondeurs abyssales du QI de l’étudiant moyen du système universitaire.
Ces manifestations font suite aux publications racistes et anti-‘tithistoristes du site http://histoiresbreves.blogspot.com dont le titre affiche sans pudeur aucune « Il n'y a pas de petites histoires ».
La forte minorité ‘tithistorienne de l’UE s’est offusquée des ébaudissements libertaires du groupe néo-écrivailleur d’histoiresbreves.com et réclame actuellement la fin de l’impunité judiciaire pour les propos anti-‘tithistoristes ainsi que la mise en place d’une Commission d’observation chargée du respect du droit d’existence des petites histoires. M. Caméamé Ahmed affirmait lors d’un entretien accordé au journal Propagande : « Nous ne cherchons pas à établir un Etat ‘tithistoriste. Le peuple des petites histoires est un peuple d’intégration, vivant perpétuellement dans une diaspora volontaire. Seulement, nous voulons assurer le respect de notre droit à l’existence. Nous avons le droit d’exister. Nous sommes des petites histoires. »
De notre correspondant au Liberbidaroustein
Des centaines de milliers de manifestants ont répondu à l’appel de la Commission Internationale pour la Défense des Droits des Petites Histoires (CIDDEPH) et ont défilé, le samedi 3 février 2007, dans les rues des plus grandes villes européennes.
Si Londres, Berlin, Got, Vilnius, Knock-le-Zout et autres lieux de villégiature dont l’importance n’a d’égal que la vitalité d’esprit d’un parisien métroïste à 7h27 le lundi matin n’ont pas été épargnés par le flot incessant de manifestants, c’est à Paris que l’affluence pro’tithistoriste a été la plus forte.
Les grands axes parisiens ont été submergés par une foule exaltée d’ultra-historiciens arborant les couleurs de l’Organisation Internationale des ‘Tithistoristes Unis (OITU).
En tête du cortège se trouvait la figure emblématique du mouvement ‘tithistoriste M. Léonard Ibrahim Shanza Caméamé Ahmed (connu sous l’acronyme LISCA), dont l’activisme et la passion ont permis de projeter sur le devant de la scène internationale la question du droit à l’existence des petites histoires.
D’autres sympathisants plus modérés à la cause ‘tithistoriste ont manifesté leur soutien au mouvement en affichant aux fenêtres de leur maison ou sur les devantures de magasin le drapeau du Back to Real Art and Variety Organization (BRAVO), par ailleurs brandi à outrance lors des manifestations de samedi dernier.
La valeur optique de la manifestation a atteint des sommets d’exotisme et de fraîcheur, alors que les couleurs de l’apparat rouge, bleu, ivoire, vert, café, jaune et blanc d’ŒUFH (Organisation Etudiante de l’Union Française pour les Histoires) se mélangeaient dans une fusion de brillance et d’artifices.
Quant à la valeur sonore de l’événement, elle a renvoyé aux oubliettes les prestations d’antan de la Catasfiore, dépassant parfois la barre des 200 décibeldemevoirdanscemiroir.
Les slogans scandés par la foule étaient divers et neufpieds : « Il était une fois le fachisme anti’tithistoire », « Une histoire petite surpasse les grands mensonges », « La France aux ‘tithistoristes », etc.
Seule la valeur intellectuelle a été laissée pour compte, chutant sous les profondeurs abyssales du QI de l’étudiant moyen du système universitaire.
Ces manifestations font suite aux publications racistes et anti-‘tithistoristes du site http://histoiresbreves.blogspot.com dont le titre affiche sans pudeur aucune « Il n'y a pas de petites histoires ».
La forte minorité ‘tithistorienne de l’UE s’est offusquée des ébaudissements libertaires du groupe néo-écrivailleur d’histoiresbreves.com et réclame actuellement la fin de l’impunité judiciaire pour les propos anti-‘tithistoristes ainsi que la mise en place d’une Commission d’observation chargée du respect du droit d’existence des petites histoires. M. Caméamé Ahmed affirmait lors d’un entretien accordé au journal Propagande : « Nous ne cherchons pas à établir un Etat ‘tithistoriste. Le peuple des petites histoires est un peuple d’intégration, vivant perpétuellement dans une diaspora volontaire. Seulement, nous voulons assurer le respect de notre droit à l’existence. Nous avons le droit d’exister. Nous sommes des petites histoires. »
5 commentaires:
j'ai aimé ! hu hu hu
sauf que ca s'écrit LiberbidUroustein :p
ah non...tu à mal compris. Je ne me référais pas à la petite principauté gnouffiste liberbidUrousteinienne, dont l'importance dans le monde est par ailleurs encore moindre que celle du crouton d'un fromage beaufortain, d'une goutte d'eau dans l'océan, de Jacques Chirac lors des prochaines élections ou encore d'un régime aux Etats-Unis. Je parlais bel et bien du LiberbidAroustein, superpuissance du monde actuel, au système démocratique exemplaire, et aux richesses matérielles, intellectuelles, scientifiques et culturelles sans commune mesure dans le monde entier. Mais stp, ne ravivons pas cette querelle millénaire entre pauvres crétins écervelés du LiberbidUrustein et génies magnifiques du LiberbidAroustein.
Gnouffy president! Gnouffy president!!! :niais:
article d'une tres grade qualité en tous cas
superpuissance du monde actuel, au système démocratique exemplaire, et aux richesses matérielles, intellectuelles, scientifiques et culturelles sans commune mesure dans le monde entier
j'ai du rater l'épisode ou tu parlais du nom de ta planète imaginaire...par ce que sur Terre, je vois vraiment pas!
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